dimanche 7 avril 2013

Une directrice se pend dans son école


Une directrice se pend dans son école, un enfant de 8 ans découvre le corps

Edité par  avec 
le 07 avril 2013 à 10h18 , mis à jour le 07 avril 2013 à 10h23



FAITS DIVERS

Un enfant de 8 ans a été pris en charge par des psychologues samedi après avoir découvert le corps pendu de la directrice de son école primaire à Belfort.
Un enfant de 8 ans a été pris en charge par des psychologues samedi après avoir découvert le corps sans vie de la directrice de son école. L'enseignante, âgée de 54 ans, s'est suicidée par pendaison.  L'élève a fait la macabre découverte en se rendant aux toilettes. Il a immédiatement donné l'alerte.
La directrice de l'école René-Rücklin, ne travaillait pas ce samedi matin. Par ailleurs, l'établissement était fermé aux élèves, à l'exception d'un cours de "langue et culture d'origine", en l'occurrence d'arabe, dispensé à une vingtaine d'enfants volontaires, a expliqué à l'AFP le directeur académique Patrick Mellon, qui s'est rendu sur place.
Pendue à une rambarde dans la cage d'escalier 
La directrice s'était pendue à une rambarde dans la cage d'escalier. L'élève ayant fait la macabre découverte a été pris en charge par des médecins.
La quinquagénaire n'a laissé aucune lettre qui permettrait d'expliquer son geste ni d'établir un lien éventuel entre cesuicide et son travail. On ne sait donc pas pourquoi elle a choisi de venir à l'école - où elle n'était pas censée travailler samedi - pour mettre fin à ses jours. "Ses collègues savaient qu'elle avait des problèmes personnels", a seulement indiqué la police.
"C'est une très grosse émotion dans le quartier", a souligné le directeur acédémique M. Mellon. Le maire de Belfort et la directrice du cabinet du préfet se sont aussitôt rendus sur les lieux du drame, rapporte L'Est Républicain. Les parents d'élèves auraient été reçus dans la foulée de 13 à 13h30 et une cellule psychologique sera mise en place dès lundi.

mercredi 20 mars 2013

dentiste qui est décédé le Mardi 19/03/2013 à MARSEILLE

à ma dentiste qui est décédé le Mardi 19/03/2013 à 

MARSEILLE

Que D.ieu Repose Son àme en paix!

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Le GIPN est intervenu, blessant mortellement le septuagénaire armé qui s'était retranché depuis une heure dans le cabinet dentaire.

Un septuagénaire armé a tué mardi matin une dentiste, avec qui il était vraisemblablement en litige pour une facture, dans le cabinet de la praticienne à Marseille, avant d'être abattu au moment de l'intervention des hommes du GIPN. L'agression a eu lieu en milieu de matinée dans le cabinet dentaire situé dans une tour du centre-ville, près de la très fréquentée place Castellane. 

L'homme, âgé de 71 ans, qui était patient de ce cabinet, a fait irruption dans l'officine muni de deux armes de poing, un pistolet et un revolver, a expliqué sur place le procureur-adjoint de Marseille, Christophe Barret. Il a fait sortir un patient qui était en train de recevoir des soins et très vite, a fait feu sur la dentiste, une femme d'une cinquantaine d'années. "Nous avons pris très rapidement la décision d'intervenir", a ajouté le procureur. "Le forcené a fait feu sur le GIPN qui l'a neutralisé".

Dette d'une centaine d'euros

Appelés dans les minutes qui ont suivi l'alerte, les hommes du Groupe d'intervention de la police nationale sont entrés en action peu après 11 h 30. Plusieurs tirs ont alors été entendus par des témoins. Selon une source proche de l'enquête, l'homme a tiré à deux reprises sur les policiers, qui ont riposté, le blessant mortellement. Selon cette source, quand le GIPN est arrivé, il restait deux ou trois personnes dans le cabinet, dans une salle contiguë. Il n'y a pas eu d'autre blessé, mais trois personnes présentes lors des faits, très choquées, ont été prises en charge par les secours.
D'après cette source proche de l'enquête, l'agresseur était en litige avec le cabinet, pour une dette d'une centaine d'euros. Il n'y a "aucune raison de penser qu'il s'agissait d'un motif crapuleux", a simplement confirmé le représentant du parquet. L'enquête a été confiée par le parquet de Marseille à la Direction interrégionale de la police judiciaire. L'adjointe au maire de Marseille chargée de la Sécurité Caroline Pozmentier, qui s'est rendue sur place, a évoqué "des instants très douloureux pour la ville", s'inclinant "devant la douleur de la famille".

822 incidents impliquant des médecins en 2011

Dès l'alerte donnée, un important périmètre de sécurité avait été installé autour de la tour. Le préfet de police, Jean-Paul Bonnetain, s'est rendu sur les lieux, ainsi que le patron de la police judiciaire, a constaté un journaliste de l'Agence France-Presse. Les marins-pompiers avaient également positionné un dispositif préventif sur les lieux, avec six engins et une vingtaine d'hommes.
D'après les derniers chiffres disponibles, 822 déclarations d'incidents ont été transmises en 2011 par des médecins au Conseil national de l'ordre (920 en 2010, 512 en 2009), selon l'Observatoire de la délinquance. Près de 57 % ont eu lieu au cabinet. Les agressions physiques représentaient 12 % du total des incidents (+ 20 % par rapport à 2009), les agressions verbales et menaces 70 % (+ 95 %). Près de 26 % étaient liés à des problèmes de prise en charge, devant les vols ou tentatives (20 %), un refus de prescription (15,5 %) et un temps d'attente jugé excessif (8,6 %). Moins de la moitié ont fait l'objet d'un dépôt de plainte ou d'un signalement.

jeudi 28 février 2013

anomalies génétiques communes dans cinq troubles mentaux


Des anomalies génétiques communes dans cinq troubles mentaux


le 28 février 2013 à 11h08 , mis à jour le 28 février 2013 à 12h36.



SANTÉ

Des anomalies génétiques communes ont été retrouvées dans cinq grands troubles mentaux, selon une étude américaine. Les chercheurs ont découvert que ces cinq troubles avaient en commun des défauts sur deux chromosomes ainsi que sur deux gènes participant à la régulation du calcium dans les cellules du cerveau.
Les troubles autistiques, les troubles du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH), les troubles bipolaires, lesdépressions majeures et la schizophrénie auraient sur le plan génétique un point commun. C'est la conclusion de la plus grande étude jamais réalisée sur ce sujet et publiée ce jeudi dans la revue médicale britannique Lancet. Des chercheurs américains ont étudié le patrimoine génétique de 33.332 patients atteints de l'un de ces cinq troubles et ils ont retrouvés des anomalies génétiques communes.
Le génome des patients a été comparé à celui d'un groupe témoin composé de 27.888 personnes non atteintes de ces troubles. Les chercheurs ont découvert que les cinq troubles avaient en commun des défauts sur les chromosomes 2 et 10 ainsi que sur deux gènes participant à la régulation du calcium dans les cellules du cerveau. L'un des gènes, baptisé CACNA1C, n'avait dans un premier temps été retrouvé que dans les troubles bipolaires et dans la schizophrénie.

Une étude biaisée ?

 
L'étude précise toutefois que les gènes font partie d'un tableau général et ne peuvent à eux seuls expliquer les causes de ces troubles. Les gènes étudiés proviennent de surcroît tous de personnes d'origine européenne, selon les auteurs de l'étude qui estiment que les résultats pourraient être différents avec des personnes originaires d'autres régions.
Ils espèrent également que les résultats de l'étude permettront un meilleur diagnostic des maladies psychiatriques. La classification des troubles mentaux est très délicate car les symptômes peuvent être vagues et contradictoires. D'autres études génomiques ont déjà montré des points communs entre diverses maladies auto-immunes, comme l'arthrite, le psoriasis ou la maladie de Crohn, une maladie inflammatoire chronique de l'intestin.

la dépression multiplie par 4 le risque de récidive fatale d’AVC

Une étude montre que la dépression multiplie par 4 le risque de récidive fatale d’AVC. Dans les services de réadaptation cardiaque, la dépression est déjà dépistée comme un facteur de risque en post-infarctus.



« Pour prévenir les récidives d’accident vasculaire cérébral (AVC), rechercher les signes de dépression est une étape clé », affirme la neurologue américaine Amytis Towfighi. Elle doit présenter en fin de semaine au congrès de l’Académie américaine de neurologie les résultats d’une étude montrant que le risque de récidive fatale d’AVC est multiplié par 4 lorsque le patient est dépressif. Ce qui est fréquent puisque selon les chiffres américains, après un accident vasculaire cérabral, plus d’1 patient sur 3 présente des signes dépressifs. Les repérer et les prendre en charge serait donc positif pour la santé mentale et cardiovasculaire des malades.

Cet effet doublement bénéfique de la prise en charge des signes dépressifs est observé également après un infarctus. « Un patient dépressif suit moins bien son traitement et est moins enclin à modifier ses habitudes de vie, explique le Dr Bruno Pavy, cardiologue et chef du service de réadaptation cardiovasculaire du Centre hospitalier Loire-Vendée-Océan de Machecoul en Loire-Atlantique. Si elle n’est pas dépistée et prise en charge, la dépression affecte donc indirectement le pronostic cardiovasculaire ».

Dans ces structures de réadaptation, qui assurent pour un peu plus d’un patient sur 3 la transition vers le domicile après un accident ou une chirurgie cardiaque, le repérage des signes dépressifs fait partie intégrante du suivi. Entre un quart et la moitié des patients seraient concernés. Mais il n’est pas toujours évident de faire la part des choses entre des signes dépressifs passagers en réaction à l’infarctus et les premiers symptômes d’une dépression caractérisée. C’est lorsqu’ils persistent plusieurs mois après l’infarctus qu’on peut être certain qu’il s’agit d’une dépression.

Première difficultée, se confier aux psychologues
Les équipes tentent donc d’intervenir en amont en proposant aux personnes qui suivent la réadaptation cardiaque de rencontrer le psychologue, ce qui déjà ne va pas de soi. « Nous suivons principalement des hommes d’une cinquantaine, soixantaine d’années, raconte Bénédicte Gregory, psychologue dans le service du Dr Pavy à Machecoul. Ils n’ont pas du tout la culture du psychologue. Confier leur mal-être serait un aveu de faiblesse. Le premier pas est souvent difficile à franchir ».
Eve Hustaix, qui intervient dans l’unité de rééducation cardiaque du Centre hospitalier de Dax dans les Landes, a trouvé une parade pour dédramatiser ce premier contact avec la psychologie : « J’accompagne les patients pendant la marche, qui fait partie du programme de réadaptation physique, raconte cette psychologue. C’est une occasion plus informelle de se parler et souvent les patients reviennent me voir ensuite dans mon bureau. Alors que, spontanément quand on leur parle de rencontrer la psy, ils répondent qu’ils ne sont pas fous ! »
Ces patients qui viennent de faire un infarctus parfois suivi d’une chirurgie lourde ont pourtant souvent des choses à confier aux psychologues. « Une maladie grave, c’est la confrontation avec la mort possible, explique Bénédicte Grégory. La particularité de l’infarctus par rapport au cancer par exemple, c’est la brutalité avec laquelle vous êtes frappé. L’angoisse a posteriori est d’autant plus grande ». « Leur corps les a trahi,  confirme Eve Hustaix. Il y a une perte de confiance telle que certains patients n’arrivent plus à dormir de peur de ne pas se réveiller ».

Repérer les signes
Les troubles du sommeil et de l’appétit sont d’ailleurs le signe qui met la puce à l’oreille des soignants et devrait alerter les proches. Mais les familles ont parfois du mal à déceler que quelque chose ne va pas tant elles sont soulagées de ne pas avoir vu mourir leur proche de l’infarctus. Entre celles qui vont surprotéger et étouffer leur proche par leurs propres angoisses de la récidive et celles qui vont vouloir bien faire en évacuant le plus rapidement possible ce souvenir douloureux pour reprendre le quotidien comme avant, les patients s’autorisent souvent difficilement à dire qu’ils vont mal.
« D’autant plus qu’il s’agit souvent d’hommes de la cinquantaine. Ils ont une charge de famille, des responsabilités professionnelles. Ils ont l’impression de flancher une seconde fois », souligne Bénédicte Grégory. « Pourtant traverser des phases de grande anxiété voire d’angoisse de mort, de repli sur soi et de perte d’envie même pour des activités que l’on appréciait est fréquent après un bouleversement aussi important, complète Eve Hustaix. Le verbaliser peut éviter que cette souffrance psychique s’installe et se transforme en dépression ». Faisant ainsi le lit de la récidive tant redoutée.

lundi 25 février 2013

Cher : une femme enceinte de 6 mois meurt


 le 25 février 2013

Cher : une femme enceinte de 6   mois meurt sur   la route de l'hôpital

FAITS DIVERS

La victime est décédée dans sa voiture alors que son compagnon l'accompagnait à l'hôpital. Le couple avait auparavant contacté le Samu qui lui avait conseillé de se rendre chez leur médecin traitant.
Une jeune femme de 26 ans, enceinte de 6 mois, est décédée lundi matin à Levet, dans le Cher, alors que son compagnon l'a conduisait à l'hôpital, rapporte le Berry républicain. Tout a commencé par des problèmes respiratoires. Le compagnon de la victime a donc appelé le Samu. Au bout du fil, le médecin régulateur conseille au couple de se rendre chez leur médecin traitant.
Mais constatant que l'état de la future maman s'aggravait, son compagnon décide de l'emmener à l'hôpital de Bourges. Malheureusement, la jeune femme est victime d'un malaise durant le trajet. Le jeune homme s'arrête alors devant un cabinet médical à Levet, mais le médecin ne parvient pas à la réanimer, tout comme l'équipe du SMUR, arrivée quelques minutes après sur les lieux.
La jeune femme est finalement décédée d'un arrêt cardiaque dans sa voiture. Le parquet de Bourges a ordonné une autopsie  afin de connaître les raisons exactes de ce décès. Une enquête de gendarmerie a d'ores et déjà été ouverte. "Pour l'instant, je ne vois pas de problème avec la régulation. Il peut y avoir une aggravation brusque de l'état de santé d'une personne. D'autant plus lorsqu'elle est enceinte", indique le directeur par intérim de l'hôpital de Bourges, Philippe Allibert.

vendredi 22 février 2013

mardi 19 février 2013

Une série d'articles sur le forcené norvégien aurait été retrouvée dans la chambre d'Adam Lanza.


Anders Breivik a-t-il été une source d'inspiration pour l'auteur de la fusillade deNewtown, Adam Lanza, qui a abattu en décembre 2012 vingt écoliers et six adultes aux Etats-Unis? Citant des sources policières, la chaîne CBS affirme qu'Adam Lanza voulait surpasser le militant d'extrême droite norvégien qui a, en juillet 2011, tué 77 personnes. Anders Breivik avait fait détoner des bombes à Oslo puis pourchassé et abattu 69 jeunes militants du parti travailliste sur l'île d'Utoya. «Obsédé par Breivik», Adam Lanzaaurait choisi l'école élémentaire de Sandy Hook en connaissance de cause. L'établissement du Connecticut constituait «une cible des plus faciles où serait rassemblé un grand groupe de personnes», explique CBS sans évoquer les indices qui auraient mis les              
                                              enquêteurs sur cette piste.

De son côté, le Los Angeles Timesqui semble avoir parlé aux mêmes sources que CBS, détaille que plusieurs articles sur Breivik auraient été retrouvés dans la chambre de Lanza. Prudent le quotidien précise que cette théorie de l'émulation n'est qu'une des hypothèses étudiées.

Silence total des autorités sur les motivations de Lanza

CBS comme le Los Angeles Times évoquent également l'influence des jeux vidéo. «Des preuves montrent que dans son esprit Lanza imitait des fantasmes de jeux et que ces victimes équivalaient à une sorte de score», écrit CBS. Selon la chaîne, une collection impressionnante de jeux violents valant plusieurs milliers de dollars aurait été découverte au sous-sol des Lanza. Avant de quitter son domicile, Lanza, qui avait exécuté sa mère, aurait détruit le disque dur de son ordinateur. Les enquêteurs travaillent dessus pour récupérer ses données et découvrir notamment avec qui il jouait en réseau.
La police du Connecticut a refusé de confirmer ces révélations de CBS, les qualifiant d'inexactes et de pures spéculations. Néanmoins, elle n'a pas réfuté que ses services aient pu examiner un éventuel lien entre la fusillade de Newtown et les attentats d'Oslo et d'Utoya. Très discrètes sur l'avancée de l'enquête, les autorités n'ont jamais avancé la moindre explication pour expliquer le bain de sang de Lanza. Un rapport, attendu cet été, devrait lever le voile.