jeudi 14 février 2013

Bourg-Saint-Maurice (Savoie) un ado de 13 ans s'est pendu

Brimades au collège : un ado de 13 ans s'est pendu

Son geste serait semble-t-il consécutifs aux brimades dont il était l'objet dans le cadre de l'établissement LE 08/02/2013





Un collégien de 13 ans, "en souffrance de par ses camarades de classe", s'est suicidé vendredi par pendaison à son domicile de Bourg-Saint-Maurice (Savoie), a confirmé mardi une source judiciaire, après diffusion de l'information de TV8 Mont-Blanc
Ses parents l'ont retrouvé pendu à l'aide d'une corde dans sa chambre, vendredi en fin d'après-midi et les pompiers n'ont pu le réanimer. On ignore pour l'instant la nature des difficultés relationnelles de cet adolescent, élève en classe de 4ème au collège Saint-Exupéry de Bourg-Saint-Maurice, avec ses camarades.
Il semblerait cependant qu'il soit devenu souffre-douleur d'autres élèves du fait de sa chevelure rousse, si l'on en croît certains medias comme MétroLe titre indique qu'une page Facebook a été créée par d'autres élèves du collège pour lui rendre hommageIl y ont placé une vidéo dans laquelle on entend le jeune garçon chanter son mal-être en rap.
Une enquête a été ouverte par les gendarmes d'Albertville pour déterminer les raisons de ce drame et notamment s'il pouvait être "prévisible".

suicide d'une adolescente de 13 ans


Essonne: suicide d'une adolescente de 13 ans, soupçons de brimades au collège

14 février 2013 à 14:31
Une jeune fille de 13 ans s'est suicidée par pendaison mercredi à son domicile de Vaugrigneuse (Essonne) laissant une lettre dans laquelle elle aurait indiqué avoir subi des brimades de la part de ses camarades de collège, a-t-on appris jeudi de source proche du dossier, confirmant une information du Parisien.
Une cellule psychologique a été mise en place au collège Jean-Monnet de Briis-sous-Forge dans l'ouest du département, où la jeune fille était scolarisée.
Une quarantaine d'élèves, principalement scolarisés dans la classe de la victime, ont demandé à y prendre part.
Décrite comme une adolescente "calme, une très bonne élève, assez timide, réservée" mais ayant "peu d'amis", selon les propos de ses camarades de classe rapportés par la directrice académique adjointe des services de l'éducation nationale de l'Essonne (DAASEN), Catherine Mercier-Benhamou, la jeune fille n'avait pas fait l'objet de signalement particulier auprès de la direction de l'établissement.
"Nous n'avions jamais eu de signalements qui étaient remontés auprès des services départementaux qui pouvaient nous laisser présager un tel drame", a indiqué Mme Mercier-Benhamou, présente au collège en fin de matinée.
"Les élèves disent qu'elle n'avait pas d'amis et qu'il y avait des enfants qui n'étaient pas très gentils, qui pouvaient avoir des mots blessants (...) la parole se libère maintenant mais ce n'est pas quelque chose qui s'était produit récemment", a-t-elle ajouté.
"Dans les moments qui viendront, on en saura plus et on déterminera un peu mieux comment s'est produit cette mésentente avec la classe et quel impact cela a-t-il pu avoir au fil du temps (...) Notre souhait, c'est d'agir pour que cela ne se reproduise pas", a affirmé Mme Mercier-Benhamou.
Une enquête décès a été confiée à la gendarmerie.

mercredi 13 février 2013

La vie est dure la société est difficile !

Un chômeur s'immole à Pôle Emploi

 

Un chômeur s'immole à Pôle Emploi : "tout a été fait" selon Michel Sapin


Un homme de 43 ans est mort en s'immolant par le feu devant une agence de Pôle emploi à Nantes, mercredi 13 février en milieu de journée. Le premier ministre et ancien maire de Nantes, Jean-Marc Ayrault, a exprimé sa "très forte émotion". Venu sur place avec le directeur de Pôle emploi, Jean Bassère, le ministre du travail, Michel Sapin, a estimé que "tout a[vait] été fait" pour empêcher cet acte. "Il y avait ici ce matin tous les services de Pôle emploi et les servicesextérieurs en termes de police et de pompiers pour faire face à un drame dont on connaissait l'intensité : tout a été fait, ce qui s'est passé ici est exemplaire", a-t-il jugé. Les règles [d'indemnisation] ont été appliquées avec l'humanité qui convient, avec les explications nécessaires, mais il y a parfois des moments où on est dans une telle situation qu'on ne comprend plus les explications."
L'homme, un chômeur en fin de droits d'indemnisation, avait prévenu lundi plusieurs médias locaux de son intention de passer à l'acte dans la semaine devant son agence de Nantes-Est, pour protester contre le rejet de son dossier alors qu'il estimait avoir travaillé suffisamment d'heures. Le quotidien local Presse Océan a publié sur son site deux courriels envoyés mardi par cet homme :
Mardi 12 février, 10 h 12 : "Aujourd'hui, c'est le grand jour pour moi car je vais me brûler à Pôle emploi. J'ai travaillé 720 h et la loi, c'est 610 h. Et Pôle emploi a refusé mon dossier."
Mardi 12 février, 12 h 55 : "Je suis allé à Pôle emploi avec 5 litres d'essence pour me brûler, mais c'est fermé le 12/02/2013 ; alors ça sera demain le 13 ou le 14, car ce serait vraiment préférable au sein de Pôle emploi merci."
"IL EST ARRIVÉ, DÉJÀ EN FLAMMES"
Un policier, cité par le quotidien local, affirme que "[mercredi à 8 heures] nous avons essayé de joindre cet homme, mais il ne répondait pas." Il explique ensuite qu'"une surveillance a été mise en place aujourd'hui, à proximité de l'agence Pôle emploi. Mais cet homme est arrivé par une rue adjacente. Il était déjà en flammes. Et hors de la vue des policiers."

Jointe par Le Monde, la direction de Pôle emploi à Paris a confirmé ce suicide et le fait que l'homme était bien venu lundi à son agence pour se faire expliquer pourquoi il n'avait pas acquis suffisamment de droits à l'indemnisation. La conseillère lui aurait alors remis un dossier pour souscrire à l'allocation spécifique de solidarité (ASS).

Le lendemain, il a appelé l'agence pour menacer de se suicider. Dans un communiqué, Pôle emploi affirme que ses équipes "l'ont immédiatement recontacté pour rechercher avec lui les solutions possibles". "Dans le même temps, Pôle emploi a alerté les pompiers et les forces de l'ordre", ajoute l'administration.
En août, un chômeur âgé de 51 ans s'était immolé par le feu devant son conseilleren emploi dans la banlieue parisienne. Il avait également succombé à ses blessures.
Pour la CFDT, "ce drame vient rappeler brutalement la terrible réalité quotidienne du chômage". "Les demandeurs d'emploi ne sont pas des statistiques. Derrière chaque demandeur d'emploi, il y a une personne, un parcours, un foyer, rappelle le syndicat dans un communiqué. L'événement tragique de ce mercredi nous rappelle que l'emploi doit être la priorité pour tous. Il doit être accessible y compris aux personnes en chômage de longue durée. Et l'accompagnement des demandeurs d'emploi en fin de droits est une nécessité aujourd'hui plus que jamais."

lundi 11 février 2013

Haute-Savoie: Un homme de 23 ans souffrant de troubles psychotiques a été arrêté


           Haute-Savoie: un homme armé arrêté

                          AFP Publié 

Un homme de 23 ans souffrant de troubles psychotiques a été arrêté en pleine rue jeudi à Annemasse (Haute-Savoie) armé d'un pistolet semi-automatique chargé, après avoir menacé sa mère avec un couteau, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la police. "Sa mère voulait le faire hospitaliser, il l'a menacée avec un poignard recourbé avant de prendre la fuite dans la rue" hier matin, a précisé le commissaire d'Annemasse, Philippe Guffon, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

Sa mère ayant donné l'alerte, l'homme - déjà connu pour usage de stupéfiants et port d'arme blanche et pour être un gros consommateur de cannabis - a été interpellé ensuite dans la rue d'Annemasse en possession d'un 22 long rifle chargé, un pistolet semi-automatique. Il portait également sur lui une boîte de munitions de 80 cartouches, a ajouté le commissaire.  Lors de son arrestation, le jeune homme s'est violemment débattu, blessant trois policiers en leur assénant des coups à la tête. Ces derniers, choqués, n'ont toutefois pas reçus d'ITT.

Devant son état de grande confusion, le jeune homme a été admis dans un établissement spécialisé pour les soins psychiatriques, et une enquête judiciaire a été ouverte, a-t-on ajouté de source policière. Psychotique-schizophrène, selon la même source, il a déjà été soigné auparavant, mais ne prenait plus ses médicaments.

Obsèques privées du tueur Adam Lanza


                  Obsèques privées du tueur de Newton

 Publié  

Adam Lanza, le jeune homme qui a tué 26 personnes dont 20 enfants dans une école élémentaire de Newtown (dans le Connecticut) le 14 décembre, a été inhumé au cours d'une cérémonie privée, indique un porte-parole de la famille de son père,aujourd'hui.
Le lieu des obsèques n'a pas été précisé.

Le corps du jeune homme de 20 ans qui s'était donné la mort après le massacre, a été restitué à son père le 27 décembre par les services du médecin-légiste de l'Etat.
Adam Lanza avait abattu sa mère Nancy dans leur maison le 14 décembre avant de se rendre à l'école élémentaire Sandy Hook située à huit kilomètres de chez lui, muni de plusieurs armes de poing et d'un fusil semi-automatique.

La police n'a pour l'instant pas réussi à expliquer le geste du jeune homme et, selon un porte-parole de la police du Connecticut, plusieurs mois pourraient être nécessaires avant la publication d'un rapport final sur l'incident.

La tuerie a relancé aux Etats-Unis le débat sur le contrôle de la vente des armes à feu. Barack Obama a qualifié le 14 décembre de jour le plus noir de sa présidence et a promis de peser de tout son poids pour soutenir de nouvelles mesures visant à mieux contrôler la circulation des armes à feu. 


samedi 9 février 2013

Un garçon de huit ans retrouvé pendu


Un garçon de huit ans retrouvé pendu à son domicile en Côte-d'Or

jour le 09 février 2013Un enfant de huit ans a été retrouvé pendu samedi à la rambarde de l'escalier de la maison familiale, en Côte-d'Or. Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie.
C'est le quotidien régional Le Bien Public qui a rapporté l'information, rapidement confirmée par le parquet de Dijon. Un jeune garçon a été retrouvé pendu samedi à la rambarde de l'escalier de son domicile en Côte-dOr.

C'est sa mère qui, inquiète de ne plus entendre son fils, aurait découvert son corps. Le jeune garçon n'a pu être réanimé. "Les liens étaient défaits lorsque les secours sont arrivés" dans cette maison de la localité de Saint-Bernard, a précisé le parquet. La mère a expliqué les avoir dénoués pour tenter de secourir son fils. 

Une autopsie devait être pratiquée, "pour s'assurer que la pendaison est bien la cause du décès", a précisé le parquet de Dijon, qui a ouvert une enquête, confiée à la gendarmerie.